Aujourd'hui, une fois n'est pas coutume, j'aimerais créer une rubrique à ce blog. Une rubrique que l'on pourrait retrouver régulièrement et que je nommerai de façon très ambidextre : "Un jour, une marque". Le but n'est pas de faire une simple description d'une marque mais de faire un arrêt sur image sur une période, sur un évènement particulier qu'a connu la marque.
Si je le peux, je voudrais reprendre cette rubrique assez régulièrement, hebdomadairement (selon mon emplois du temps de pauvre étudiant).
Pour commencer cette rubrique, il fallait choisir une marque particulière, ancrée dans les esprits. Une marque dont le nom serait par exemple le deuxième le plus connu de la planète (par 94% de la population). Non, je ne parle pas de mon blog flatteurs que vous êtes mais de Coca-Cola. Une véritable institution, un bulldozeur du marketing et de la communication.
Le temps de compter jusqu'à 10 et c'est plus de 70 000 bouteilles qui ont sont bues (pas par le même homme hein !). Après plus de 120 ans d'existence, Coca-Cola se vend plus d'un milliard de fois par jour dans 200 pays. Un succès qui laisse plus que rêveur.
En 1950, c'est face au succès phénoménal de la marque, qu'un journal (le Time en l'occurrence) fait sa couverture sur la marque. Une première dans l'histoire (et c'est à se moment que vous sortez les mouchoirs).
Une illustration que j'apprécie beaucoup, puisqu'elle est très évocatrice je trouve. Coca-Cola, mère nourricière de la planète magnifiquement personnifiée. Cette dernière s'abandonne sur l'épaule protectrice de Coca-Cola, l'oeil gourmand, le sourire aux lèvres se délectant du délicieux nectar (Marc Lévy, sort de ce corps !!). La fierté de l'un, l'abandon de l'autre, la relation entre une mère et son enfant en quelque sorte. Une illustration magnifiquement réalisée qui ne laisse aucun doute quant au succès mondial de la marque.
C'est une vision que je choisis d'adopter, puisqu'avec le recul, on pourrait aussi y voir une planète crédule, naïve qui se laisse totalement berner par le perfide Coca-Cola qui la gave du fameux breuvage qui fait tant d'émules. Mais non, je crois en la beauté et l'innocence de ce monde !
Avant de vous quitter (oui c'est déjà la fin, mais ne pleurez pas, je reviendrai), une dernière petite chose. Une très belle vidéo que tout le monde connait mais qui n'en demeure pas moins très bien faite, et qui place la boisson sur un pied d'Estal, pas uniquement comme une simple boisson désaltérante (son rôle premier pour rappel) .
Si je le peux, je voudrais reprendre cette rubrique assez régulièrement, hebdomadairement (selon mon emplois du temps de pauvre étudiant).
Pour commencer cette rubrique, il fallait choisir une marque particulière, ancrée dans les esprits. Une marque dont le nom serait par exemple le deuxième le plus connu de la planète (par 94% de la population). Non, je ne parle pas de mon blog flatteurs que vous êtes mais de Coca-Cola. Une véritable institution, un bulldozeur du marketing et de la communication.
Le temps de compter jusqu'à 10 et c'est plus de 70 000 bouteilles qui ont sont bues (pas par le même homme hein !). Après plus de 120 ans d'existence, Coca-Cola se vend plus d'un milliard de fois par jour dans 200 pays. Un succès qui laisse plus que rêveur.
En 1950, c'est face au succès phénoménal de la marque, qu'un journal (le Time en l'occurrence) fait sa couverture sur la marque. Une première dans l'histoire (et c'est à se moment que vous sortez les mouchoirs).
Une illustration que j'apprécie beaucoup, puisqu'elle est très évocatrice je trouve. Coca-Cola, mère nourricière de la planète magnifiquement personnifiée. Cette dernière s'abandonne sur l'épaule protectrice de Coca-Cola, l'oeil gourmand, le sourire aux lèvres se délectant du délicieux nectar (Marc Lévy, sort de ce corps !!). La fierté de l'un, l'abandon de l'autre, la relation entre une mère et son enfant en quelque sorte. Une illustration magnifiquement réalisée qui ne laisse aucun doute quant au succès mondial de la marque.
C'est une vision que je choisis d'adopter, puisqu'avec le recul, on pourrait aussi y voir une planète crédule, naïve qui se laisse totalement berner par le perfide Coca-Cola qui la gave du fameux breuvage qui fait tant d'émules. Mais non, je crois en la beauté et l'innocence de ce monde !
Avant de vous quitter (oui c'est déjà la fin, mais ne pleurez pas, je reviendrai), une dernière petite chose. Une très belle vidéo que tout le monde connait mais qui n'en demeure pas moins très bien faite, et qui place la boisson sur un pied d'Estal, pas uniquement comme une simple boisson désaltérante (son rôle premier pour rappel) .
1 commentaire:
Même si la pub de Coca-cola avec les personnages de Final Fantasy IX reste pour moi le must, je suis obligé de dire que le best ça reste le Pepsi, surtout que cette marque à eu droit à son propre jeu vidéo... la classe quoi.
Enregistrer un commentaire